6 nouvelles recrues pour l’UNM en 2022 !

6 nouvelles recrues pour l’UNM en 2022 !

le : 13/02/2023

Si la normalisation est méconnue, ses métiers et les possibilités qu'ils offrent le sont encore plus !  En 2022, l'UNM a recruté 6 personnes : Christelle Bourillon, Directeur Administratif et Financier/Directrice des ressources humaines, puis 5 chefs et cheffes de projet en normalisation (Juliette Buland, Reda Chakik, Angeli Nanthakumar,Julie Kamokoue et Álison Rosa). Leurs cursus et expériences variés sont une réelle richesse pour leur métier et pour l'UNM. Découvrez-les à travers nos questions !

Présentez-vous en quelques mots !

Reda : Je suis Reda Chakik, 28 ans, ingénieur de formation, j’ai intégré l’UNM le 07 mars 2022 en tant que chef de projet en normalisation.

Angeli : Bonjour moi c’est Angeli ! J’ai 26 ans, je suis arrivée à l’UNM en mars 2022 en tant que cheffe de projet en normalisation. Avant cela, j’ai été diplômée d’un master en Qualité, Sécurité et Environnement et j’ai travaillé en tant que chargée de missions Qualité et Environnement chez la RATP.

Juliette : Hello, je m’appelle Juliette, j’ai démarré mon poste de cheffe de projet normalisation à l’UNM en juillet 2022. Je suis diplômée d’un master de traduction technique (Anglais <> Français/Russe > Anglais) que j’ai effectué au Royaume-Uni ; j’ai notamment traduit des brevets d’invention et j’ai également effectué un passage en organisation internationale.

Julie : Je suis Julie Kamokoue, 40 ans, traductrice technique de formation et aujourd’hui cheffe de projet en Normalisation à l’UNM depuis décembre 2022.

Álison : Je m’appelle Álison Rosa, 31 ans, brésilien (et italien), arrivé en France il y a 8 ans, dans le cadre d’un programme de mobilité étudiante. J’ai fait des études en Lettres, avec un cursus orienté langue et littérature françaises. Cela m’a permis de donner des cours de français langue étrangère (FLE). J’ai aussi un master en traduction éditoriale, économique et technique à l’ESIT (École Supérieure d’Interprètes et de Traducteurs), lequel s’inscrit dans une démarche de reconversion professionnelle après 2 ans en hôtellerie. J’ai travaillé au sein du ministère de l’Intérieur, dans un service de protection rapprochée qui rassemble l’ensemble des gardes du corps du gouvernement français. Le master à peine terminé, j’ai postulé à l’UNM où je travaille depuis un mois.

Comment décririez-vous en quelques mots votre travail ?

Reda : C’est un travail qui offre l’opportunité d’échanger avec des experts dans différents domaines, de participer à l’élaboration des normes internationales, européennes et françaises et aussi d’effectuer des déplacements à l’étranger.

Angeli : Mon travail se dessine autour de missions très variées. C’est un métier organisé, très rigoureux, autonome, où l’on peut gérer son temps de travail. Il nécessite une certaine méthodologie et des connaissances approfondies sur les règles de fonctionnement. C’est un métier où il est important de prendre en compte les enjeux techniques et économiques.

Juliette : Les tâches du chef de projet sont multiples ; c’est un métier qui est aussi exigeant et nécessite de bien connaître les défis économiques et techniques auxquels sont confrontés les acteurs du monde industriel.

Julie : Je dirais que c’est un travail qui n’est pas monotone car il y a beaucoup de tâches différentes !

Álison : En quelques mots, à Monsieur Tout le Monde : « Traduction et pilotage de projets pour un bureau de normalisation affilié à l’AFNOR ». Et si l’on me donne loisir de préciser : « On fait des normes techniques dans le domaine de la mécanique, de l’acier et du caoutchouc ».

Pour vous, que signifie être chef.fe de projet en normalisation ?

Reda : Pour moi, chef de projet en normalisation c’est un poste idéalement polyvalent, enrichissant et responsabilisant.

Angeli : Être cheffe de projet en normalisation, c’est savoir gérer non pas un projet sur une durée indéterminée, mais une multitude de projets de normes, tous différents les uns des autres. C’est travailler sur des sujets variés avec de multiples interlocuteurs et participer à la stratégie normative de l’UNM.

Juliette : Être cheffe de projet en normalisation, c’est superviser un portefeuille de plusieurs projets qui peuvent appartenir à un même domaine ou non tout en démontrant plusieurs aptitudes : relation client, négociation, écoute, aisance en contexte international, diplomatie.

Julie : Être cheffe de projet en normalisation, c’est assister les experts techniques dans l’élaboration des normes ; veiller à la bonne application des référentiels normatifs ; piloter les commissions de normalisation françaises pour leur permettre de porter la position de la France dans les instances européennes et internationales ; c’est donc un métier de conseil/consultation en normalisation.

Álison : Je n’ai qu’un mois d’(in)expérience, mais globalement, je dirais qu’être chef de projet en normalisation consiste, d’un côté, à être à l’écoute des experts d’un certain domaine pour pouvoir y apporter la meilleure solution « normative » ; d’un autre côté, cela signifie être gardien d’un savoir, d’une technique – celle des normes – qui impose de faire des arbitrage et à œuvrer continuellement pour la qualité, c’est-à-dire pour un cadre de vie optimal.

Quelle partie de votre travail préférez-vous ?

Reda : La partie que j’aime le plus dans mon travail c’est quand je voyage à l’étranger pour participer à des réunions européennes et internationales !

Angeli : Ce que je préfère, c’est la diversité des sujets techniques sur lesquels je travaille. C’est ce qui fait la richesse de ce métier, on ne s’ennuie jamais, on en apprend tous les jours !

Juliette : Pour ma part, j’apprécie beaucoup les réunions CEN et ISO qui sont pour moi un lieu d’échanges internationaux où il faut savoir naviguer entre recherche de consensus et défense des positions.

Julie : Pour moi c’est le contact et le caractère pluridisciplinaire de la fonction !

Álison : Littéraire et traducteur de formation, la partie qui me plaît le plus est l’écriture, la recherche des mots pour exprimer une idée, notamment dans le passage d’une langue à l’autre (par exemple, lors de l’écriture d’un compte-rendu, d’un mail ou d’une traduction pure). Cela peut aussi s’exprimer à l’oral, dans les réunions, qui requièrent une préparation et une certaine anticipation de ses interlocuteurs et des questions/objections qu’ils pourront soulever. Cet aspect rejoint mon expérience personnelle, car j’ai travaillé comme journaliste dans un hebdomadaire brésilien (mon père étant lui-même journaliste), et pendant mes études à l’université au Brésil, j’ai été le porte-parole d’une classe de plus de 300 étudiants (d’où le rôle de médiateur et d’orateur lors des réunions et des assemblées générales).

Crédit photo : DR

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